CMR_2007_ECAM-III_v01_M
Troisième Enquête Camerounaise Auprès des Ménages 2007
Name | Country code |
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Cameroon | CMR |
Integrated Survey (non-LSMS) [hh/is]
Dans le cadre du suivi et de l’évaluation de la mise en oeuvre de la stratégie de réduction de la pauvreté (SRP) et de la mesure des progrès accomplis vers l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (OMD), le Gouvernement, à travers l’Institut National de la Statistique (INS), a réalisé en fin 2007 la troisième enquête camerounaise auprès des ménages (ECAM3). Cette opération fait suite à celles réalisées en 1996 et 2001. L’ECAM2 de 2001 a permis d’actualiser le profil de pauvreté de 1996 et de disposer des indicateurs de référence pour le suivi des progrès réalisés en matière de réduction de la pauvreté. Les résultats issus de cette enquête ont alimenté la version finale du premier Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP) qui a été adopté en Avril 2003 par les autorités camerounaises comme document de référence du Gouvernement et lieu de convergence des appuis des partenaires techniques et financiers du Cameroun.
L’objectif de l’ECAM3 est, à l’instar de l’ECAM2, (i) d’actualiser le profil de pauvreté de l’année 2001, (ii) d’apprécier les progrès réalisés en matière de réduction de la pauvreté, et d’atteinte des OMD, et (iii) d’alimenter la révision du DSRP dont les travaux sont déjà engagés.
Les objectifs spécifiques sont les suivants :
• Etudier la pauvreté sous toutes ses formes aux niveaux national et régional : pauvreté monétaire, pauvreté en termes de conditions de vie des ménages, pauvreté de potentialités et pauvreté subjective. Etablir les corrélations entre ces différentes formes de pauvreté ;
• Etudier la dynamique de la pauvreté depuis 1996, notamment entre 2001 et 2007, en vue d'évaluer l'effet des politiques macro-économiques de ces dernières années sur les conditions de vie ;
• Evaluer la demande d'éducation et identifier ses principaux déterminants ;
• Evaluer le tourisme interne au Cameroun ;
• Collecter des données sur le travail des enfants.
Sample survey data [ssd]
National
L'enquête concerne l'ensemble des ménages ordinaires (par opposition aux ménages collectifs : internats, casernes, hôpitaux, couvents, etc.) résidant sur l'ensemble du territoire national à l'exclusion des membres du corps diplomatique et de leurs ménages.
Name | Affiliation |
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Institut National de la Statistique (INS) | Ministère de l'Economie, de la Planification et de l'Aménagement du Territoire |
Name | Role |
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Union Européenne | Partenaire financier |
Programme des Nations Unies pour le Développement | Financement de l'Enquête pilote |
Bureau International du Travail | Partenaire financier |
Gouvernement camerounais |
Le plan de sondage appliqué est de type aléatoire stratifié à deux degrés. Le pays est divisé en 12 régions -les 10 provinces (le centre sans Yaoundé et le littoral sans Douala- et Yaoundé et Douala). Chaque région est subdivisée en trois strates (urbaine, semi-urbaine et rurale) à l'exception de Yaoundé et Douala qui sont des strates urbaines. On a alors un total de 32 strates. A Douala et à Yaoundé où chaque arrondissement sera considéré comme étant une strate de sondage à part en vue d'une distribution géographique équitable de l'échantillon.
Au premier degré dans chaque strate, l'on tire des zones de dénombrement (ZD), et au second degré, un échantillon de ménages est tiré dans chaque ZD sélectionnée au premier degré.
Afin de limiter la variabilité des probabilités d'appartenance des ménages à l'échantillon, il importe non seulement de choisir les modes de sélection des unités primaires (ZD) et des unités secondaires (ménages) de façon que les ménages aient finalement approximativement la même chance d'appartenir à l'échantillon (ce qui, dans le cas idéal d'équiprobabilité, permettrait de dépouiller l'enquête dans chaque strate comme un recensement), mais aussi de veiller si possible à une allocation proportionnelle de l'échantillon entre régions et entre strates.
Au premier degré dans chaque strate, l'on tire des zones de dénombrement (ZD) proportionnellement à leur taille pour tenir compte des disparités subsistantes entre ces tailles;
Au second degré, un échantillon de ménages est tiré dans chaque ZD sélectionnée au premier degré.
Un tel plan de sondage permet en outre d'enchaîner immédiatement dans chaque ZD les opérations de cartographie et dénombrement, avec celles de l'enquête proprement dite. Entre autres avantages de cette procédure, il y a les gains en coûts et délais de l'opération sur le terrain, la limitation des sorties d'observations entre le dénombrement et l'enquête proprement dite, et les contacts encore frais entre enquêteurs et ménages sur le terrain, même ci cette procédure nécessite une plus grande responsabilité des contrôleurs et une formation conséquente pour leur permettre de valider le dénombrement et maîtriser le tirage de l'échantillon.
Pour des raisons de gestion du déploiement des équipes et de la charge de travail par enquêteur (laquelle devrait être relativement fixe par vague de 10, 22 ou 23 jours de travail), et de proximité avec l'autopondération de l'échantillon dans la strate, le nombre de ménages à enquêter dans chaque ZD est en principe constant à l'intérieur de chaque strate, voire d'une région à l'autre ; et il n'est pas envisagé de procéder à la segmentation de ZD sur le terrain.
Ce nombre de ménage à enquêter par ZD a été initialement fixé à 12 pour Yaoundé et Douala, et à 18 ailleurs, ce qui correspond à la charge normale de travail d'un binôme d'enquêteurs au cours d'une vague d'enquête, c'est-à-dire au cours d'une période d'activités de 10 jours dans les strates rurales et de 22 à 23 jours dans les strates semi urbaines et urbaines.
Pour tenir compte du fait que 82 de ces ZD tirées au hasard ont préalablement fait l'objet de l'enquête légère réalisée en novembre - décembre 2006, et que l'on y a enquêté dans ce cadre respectivement 18 ménages par ZD à Yaoundé et Douala et 24 ménages par ZD dans le reste du pays, soit en tout 1805 ménages qui constitue un panel à re-enquêter lors de la grande ECAM3pour mieux déceler les saisonnalités éventuelles, l'on devra exceptionnellement viser tous ces ménages de l'enquête légère. Soit respectivement 18 ménages par ZD de l'enquête légère à Yaoundé et Douala, et 24 par ZD de l'enquête légère dans les autres régions.
Le nombre prévisionnel des ménages à enquêter dans l'ensemble des 12 régions d'enquête est de 12 609 ménages à interviewer dans 742 ZD. Il inclut près de 1800 ménages ayant préalablement fait l'objet de l'enquête légère en novembre - décembre 2006, et répartis dans 82 ZD.
Au premier degré, dans une région d'enquête donnée, la probabilité de tirer une ZD dans la strate j est :
P1k = zij nijk /Nij
où zij = nombre de ZD tirées dans la strate j de la région i ;
Nij = Population totale (ou nombre total de ménages) dans la strate j de la région i ;
nijk = Population (ou nombre de ménages) de la ZD k dans la strate j de la région i, j variant de 1 à 3 dans les provinces ; i=1 à 12.
Au deuxième degré la probabilité de tirer un ménage dans une ZD numérotée k est:
P2k = eijk/dijk
où: eijk = nombre de ménages effectivement tirés et enquêtés dans la ZD k;
dijk= nombre total de ménages dénombrés dans la ZD k.
La probabilité de tirage d'un ménage dans une ZD k de cette strate est alors :
P1k = P1kP2k = zij nijk eijk/Nijdijk.
On en déduit le coefficient d'extrapolation d'une ZD k qui est l'inverse de la probabilité de tirage d'un ménage quelconque de la ZD, soit :
C1k= Nijdijk/ zij nijk eijk;
où: zij = nombre de ZD tirées dans la strate j de la région i ;
Nij = Population totale (ou nombre total de ménages) dans la strate j de la région i ;
nijk = Population (ou nombre de ménages) de la ZD k dans la strate j de la région i, j variant de 1 à 3 dans les provinces ; i=1 à 12.
eijk = nombre de ménages effectivement tirés et enquêtés dans la ZD k , strate j de la région i;
dijk = nombre total de ménages dénombrés dans la ZD k, strate j de la région i;
Les questionnaires
Le questionnaire répond d'abord au souci de collecter une information dont le traitement approprié permet d'atteindre les objectifs de l'enquête. En dehors de la section 00 sur les «renseignements généraux », il s'organise autour de 16 sections ou modules dont chacun cerne un domaine particulier. Pour la clarté de cet outil de collecte, il est précisé chaque fois la population cible visée par chaque module, de manière à s'assurer que l'éligibilité du module ou de la section ne dépendra pas de l'enquêteur, du contrôleur ou du superviseur.
Le questionnaire se subdivise en trois grandes parties :
a) Les sections concernant tous les individus d'un ménage. Il s'agit des sections 01 (composition et caractéristiques des membres du ménage) et 02 (santé des membres du ménage).
b) Les sections qui sont administrées à une catégorie seulement d'individus du ménage. Il s'agit des section 03 (Education des membres du ménage), 04 (Activité économique et revenus des membres du ménage), 05 (Activités ménagères des membres du ménage), de la sous section 8.2 (Migration des membres du ménage) et de la section 16 (Tourisme interne).
c) Les sections relatives aux données collectives des ménages en tant qu'entité. Dans cette catégorie, se trouvent les sections 06 (Environnement du ménage) et 07 (Logement et équipements du ménage), la sous section 8.1 (Migration et mobilité résidentielle du ménage), les sections 09 (Accessibilité aux infrastructures de base), 10 (Perception des conditions de vie et gouvernance), 11 (Autres éléments du patrimoine non foncier), 12 (Patrimoine foncier, accès au crédit pour la production et capital social du ménage), 13 (Agriculture et activités du monde rural), 14 (Dépenses et acquisitions rétrospectives du ménage) et 15 (Dépenses et acquisitions quotidiennes des ménages).
Chaque section vise à cerner un domaine particulier pour des objectifs précis d'analyse. Ces objectifs ne seront atteints que si le remplissage s'effectue correctement sur le triple plan :
· De la bonne demande d'information;
· De la bonne réponse de l'enquêté et ;
· De l'enregistrement fidèle des réponses adéquates.
Pour des raisons pratiques, le questionnaire a été subdivisé en trois cahiers (blocs) pour la strate rurale et en quatre pour les strates semi-urbaines et urbaines :
· Les sections 00 à 13 constituent le questionnaire principal (premier cahier) ;
· Les sections 14 et 15 constituent le second cahier pour les strates rurales, et respectivement le deuxième et le troisième cahiers pour les strates semi-urbaines et urbaines.
· La section 16 sur le tourisme interne qui concerne toutes les strates.
Pour faciliter la gestion et la distinction des questionnaires à administrer suivant la strate considérée, plusieurs couleurs de couverture ont été choisies :
· La couleur verte pour le questionnaire principal et orange pour celui sur le tourisme interne, qui s'adressent aux ménages quelle que soit la strate ;
· La couleur rose pour le questionnaire section 14, rouge pour le questionnaire section 15 et jaune pour le carnet des comptes qui s'adressent aux ménages des strates semi urbaines et urbaines ;
· La couleur bleue pour le questionnaire sections 14 et 15 réunies qui s'adresse uniquement aux ménages des strates rurales.
Le carnet de comptes
Pour les ménages urbains ou semi-urbains, le carnet de comptes est, comme son nom l'indique, un carnet dans lequel sont consignées toutes les dépenses ou sorties d'argent effectuées par les membres du ménage, ainsi que les dons et cadeaux offerts par le ménage à d'autres ménages ou à des tiers, et les acquisitions, dons et cadeaux reçus par le ménage. Il est de format réduit pour faciliter son maniement.
Sur la page de garde figurent des informations permettant de localiser le détenteur du carnet de comptes par rapport à son ménage, à la ZD, à la province (ou à l'une des villes : Yaoundé, Douala) à laquelle il appartient. A l'intérieur, la première page donne des indications sur la nature des dépenses et acquisitions qui seront enregistrées dans le carnet de comptes et sur la manière de le remplir. Les pages qui suivent présentent chacune un tableau dans lequel seront notées les dépenses et acquisitions devant être plus tard transcrites dans la section 15.
Le carnet de comptes n'est pas donné à tous les membres du ménage. Son obtention obéit à un certains critères précisés dans le manuel de l'agent enquêteur présenté en ressources externes.
Une fiche additionnelle a été ajoutée au questionnaire principal de la région de l'extrême nord pour les besoin de l'enquête d'impact du Projet de Réduction de la Pauvreté et Actions en faveur des Femmes dans la province de l'Extrême Nord (PREPAFEN).
Start | End |
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2007-09 | 2007-12 |
Name | Affiliation |
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Institut National de la Statistique | Ministère de l'Economie, de la Planification et de l'Aménagement du Territoire |
Chacune des 12 régions de collecte était placée sous la supervision d'au moins deux superviseurs. Les enquêteurs étaient organisés en équipes chacune d'elles ayant à sa tête un contrôleur. Les tâches assignées aux contrôleurs étaient la sensibilisation, le suivi du dénombrement des zones d'enquête et le tirage des ménages à enquêter, le suivi et l'encadrement des enquêteurs, la vérification des questionnaires, la gestion du matériel et des équipements.
Les superviseurs étaient chargés du déployer les équipes sur les terrains, de s'assurer que la collecte se déroule comme il le faut dans toutes les Zones de Dénombrement et que les données sont bien collectées. Pour ce faire ils étaient contraints de relire les questionnaires pour vérifier les cohérences. Les incohérences décelées lors de lecture des questionnaires étaient aussitôt répercutées aux contrôleurs et agents enquêteurs pour qu'ils puissent les corriger et les prendre en compte lors des passages dans les prochaines Zones de Dénombrement. Avant la fin de la collecte dans une Zone de Dénombrement les questionnaires étaient relus par le contrôleur et les superviseurs.
En plus de leur charge de travail, les superviseurs exécutaient certaines attributions des contrôleurs tels que :
L'organisation de la collecte a varié selon que l'on travaillait en strate urbaine et semi urbaine ou en strate rurale, compte tenu de l'accessibilité et de la charge de travail effectué dans chaque zone de dénombrement (ZD) et d'enquête. Pour plus de détails, lire la document de méthodologie de collecte ci-dessous. Chaque région était placé sous la responsabilité d'au moins un superviseur. Chaque superviseur avait sous sa responsabilité plusieurs équipes d'enquêteurs. Chaque équipe avait à sa tête un contrôleur. Les équipes dans les 12 régions d'enquêtes ont été constituées conformément au document de méthodologie donnant la répartition du personnel. Inévitablement des ajustements ont été nécessaires tout au long de l'enquête pour tenir compte des ZD de l'enquête légère et aussi des enquêteurs « mobiles » le cas échéant. La constitution de ces équipes a intégré plusieurs paramètres parmi lesquels : les langues locales, le lieu de résidence habituel et le niveau des agents enquêteurs (selon la formation).
Avant de commencer la collecte dans chaque zone d'enquête, les équipes de terrain tenaient toujours une séance de travail avec les autorités (administratives, locales et religieuses). C'est lors de telles rencontres que ces équipes sollicitaient de ces autorités un appui permanent pour la sensibilisation de proximité, la mise à dispositions des guides locaux et des interprètes.
Les opérations de collecte ont commencé sans perdiems et avec une quantité insuffisante, voire une absence totale de certains matériels de collecte (craie, bic, …) et des véhicules.
Sous l'encadrement d'un des superviseurs et de leur contrôleur, les agents enquêteurs munis de leurs signes distinctifs (tricots ECAM3, badge et lettres d'introduction) procédaient à la reconnaissance de la Zone de Dénombre (ZD) puis au dénombrement pour les ZD qui n'ont pas fait l'objet de l'enquête légère ou pilote. La supervision de proximité a permis de contrôler les travaux de terrain à tous les niveaux : contrôle du dénombrement et du tirage des ménages échantillons, lecture de section des questionnaires principaux au fur et à mesure de leurs remplissages et aussi des autres sections (section 14, 15, 16 et 17).
Pour pallier aux problèmes de reconnaissance des ZD sur le terrain et aussi aux problèmes des cartes illisibles, les superviseurs assistaient systématiquement à la délimitation des ZD à problème. Ce qui entraînait des coûts considérables, bien que contribuant à l'amélioration de la qualité des données.
Dans la plupart des régions, le plan de déploiement initial a été adapté aux contraintes de terrain. Il en est de même pour la phase de dénombre et l'interview auprès des ménages. Dans ceux-ci, le calendrier des visites n'a pas toujours été respecté. Il tenait beaucoup plus de la disponibilité des membres des ménages et aussi de leur volonté à répondre aux questions.
Dans la première vague, on a constaté une forte réticence de certains ménages à être interviewés ou à déclarer leurs dépenses. Dans l'ensemble, les carnets n'ont pas toujours été remplis. Ils l'ont été mieux en milieu urbain qu'en milieu semi urbain. Dans ces zones, les enquêteurs étaient obligés de procéder par interview pour le remplissage de la section 15. Dans les milieux urbains comme Yaoundé et Douala, certains chefs de ménages ont carrément refusé d'être interviewés.
Is signing of a confidentiality declaration required? | Confidentiality declaration text |
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yes | Les données d'enquête et de recensement du Cameroun constituent un volet important de son patrimoine informationnel pour lequel d'importantes ressources publiques ont été engagées. La gestion de ces ressources incombe à l'institut national de la statistique qui assure la coordination du système national d'informations statistiques. Elles sont destinées à l'utilisation des pouvoirs publics, des bailleurs de fonds, du secteur privé et de la société civile pour leurs activités propres et/ou leur contribution au développement du pays. Eu égard à leur coût, il sera demandé une participation à certains utilisateurs pour mettre ces données à leur disposition. C'est pour cette raison que les ressources financières de l'institut national de la statistique du Cameroun comprennent outre les subventions de l'Etat, les dons non remboursables et les emprunts, une composante fruits de la vente des publications. Bien que les ventes des publications ne constituent qu'un appoint budgétaire, il importe de veiller à garantir un minimum de recettes dont la disponibilité peut permettre de résoudre des problèmes pressants ne nécessitant pas de gros moyens. Ceci est d'autant plus important que les ressources extérieures ne sont pas éligibles à toutes les dépenses de l'INS et que les subventions se mobilisent souvent avec des délais. Les ressources issues de la vente des publications ne sauraient obéir à la loi du marché. Il s'agit plutôt de solliciter une contribution de la part des utilisateurs. Dans la pratique, l'objectif est en général de faire supporter par les utilisateurs les seuls coûts de traitement et de diffusion de l'information mise à leur disposition. |
L'utilisation des données doit être mentionnée par l'inclusion d'une référence bibliographique contenant au minimum:
L'utilisateur des données reconnait que le producteur des données, le distributeur agréé, ainsi que les bailleurs de fonds ayant contribué au financement de la production de ces données, ne sont nullement responsables de l'utilisation qui sera faite de ces données, ni des interprétations et conclusions dérivées de leur analyse et utilisation.
Name | URL |
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Institut National de la Statistique (INS) | http://www.statistics-cameroon.org |
DDI_CMR_2007_ECAM-III_v01_M
Name | Affiliation | Role |
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Development Economics Data Group | The World Bank | Ducumentation of the DDI |
2012-04-27
Version 01 (April 2012)